Après avoir recensé des arbres, et en avoir coupé d’autres, voilà que la ville replante. Et c’est tant mieux.
L’illustration de cette publication est volontairement peu flatteuse. Prise en hiver, les feuillus de la place De Gaulle, sont peu visibles. Ils poussent, depuis la bétonisation de la place. En tout cas ce lieu de passage et de vie, défraie la chronique, tantôt pour éviter le béton, tantôt pour éviter les oiseaux…
Bref, la ville plante des arbres : www.antibes-juanlespins.com/information/actualites/larbre-sepanouit-au-coeur-de-notre-cite
Encore faudrait-il que ces arbres protecteurs contre les rayons du soleil et la chaleur, soient plantés là où il faut. Encore faudra-t-il qu’ils soient plantés avec suffisamment de substrat pour s’enraciner correctement et pour avoir la possibilité d’aller chercher l’eau au plus profond.
Sans quoi ils mourront…
A bien regarder d’en haut, Antibes est une ville plutôt arborée. Les résidences des hauteurs ont toutes un espace vert. Les arbres ne sont pas rares le long des rues.
Pour autant, l’impression voire le constat que le centre ville est de moins en moins vert est fréquemment le sujet de débats. Des arbres sont coupés là où ils procuraient pourtant un peu d’ombre en pleine ville lorsque le soleil est au zénith. Le mouvement imperceptible de leurs branches ou feuillages, les vols ou chants d’oiseaux vivifiaient sans doute l’immobile immobilier en pierres ou béton…
Alors selon vous, où ne faut-il pas couper les arbres, et où faut-il en planter ?